Comment aider un ami ou un membre de la famille en deuil
Rares sont les personnes qui savent comment aider un ami ou la famille en deuil. Il s’agit d’une épreuve douloureuse qui exige de la compréhension,
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Même si les traditions sont assez semblables à travers le continent, l’Europe présente de nombreuses traditions funéraires selon les différences culturelles et religieuses. L’entreprise de Pompes Funèbres et de Marbrerie RENÉ F. MARCEL vous les présente.
Dans la religion chrétienne, la croyance de la vie après la mort prime. Inhumation et crémation sont les pratiques les plus courantes. Le retour du corps à la terre permettrait ainsi sa résurrection. On y décore souvent les tombes avec des stèles personnalisées, une pierre tombale et des crucifix. Dans les pays catholiques il est courant d’organiser une messe avant l’enterrement et une veillée funèbre la veille.
Dans la religion musulmane, la mort est une étape naturelle et la vie continue après la mort. La crémation y est interdite. Le défunt est forcément inhumé. L’inhumation doit avoir lieu dans les 24h suivant la prière funéraire réalisée par un imam. La pierre tombale ne doit être ni décorée ni personnalisée.
Dans la tradition juive le deuil permet d’emmener le défunt de la vie vers l’existence après la mort. La crémation est interdite. Le corps est enroulé dans un linceul blanc puis inhumé. Aucune décoration n’est permise sur le cercueil et sur la pierre tombale. On y retrouve cependant des mots écrits en hébreu. Veillée funèbre avec des prières puis cérémonie religieuse à la synagogue sont les étapes après la mort.
Chez les protestants c’est l’inhumation qui est privilégiée, mais la crémation devient de plus en plus courante. Lors de la cérémonie funèbre, les réalisations du défunt sont mises en avant. L’enterrement est simple. Les invités revêtent des tenues noires et prient ensemble. La veillée funèbre peut cependant durer plusieurs jours.
Les traditions sont nombreuses en Asie mais c’est la crémation qui est la méthode la plus souvent utilisée.
Les pratiques inspirées des enseignements de Bouddha varient d’un pays à l’autre. Le processus de deuil est un moment de recueillement et de méditation. Il permet d’accéder à sa paix intérieure afin de surmonter cette épreuve plus facilement. Crémation ou inhumation sont possibles, suivies de plusieurs jours de prières.
Dans la culture hindoue, la crémation permet d’aider l’âme à se réincarner. Les cendres sont souvent placées dans des endroits sacrés comme des rivières ou des forêts. Une des traditions consiste à emmener le corps du défunt en haut d’une colline et attendre que les corbeaux le dévorent. S’il ne disparaît pas totalement, cela signifie que la personne n’était pas méritante.
Ce sont surtout les croyances philosophiques qui influencent les traditions funéraires en Chine. Crémation et inhumation sont autorisées. Ainsi l’âme du défunt peut rejoindre ses ancêtres une fois qu’il est libéré de son enveloppe corporelle. De l’encens est brûlé durant la veillée funéraire et l’enterrement, aidant ainsi à purifier l’air. Des offrandes à la famille du défunt sont faites pour lui rendre un dernier hommage.
En Afrique les traditions funéraires sont très différentes d’une région à l’autre. Événements communautaires forts, elles permettent néanmoins à toute la famille de se réunir pour rendre hommage à la personne disparue.
Culture riche de nombreuses traditions funéraires, l’Egypte suit des rituels très particuliers. La préparation du corps fait pleinement partie de cette tradition millénaire. Celui-ci est embaumé pour pouvoir commencer sa nouvelle vie de la meilleure façon possible. L’âme est immortelle et le corps doit être protégé de la façon la plus propre afin de permettre à celle-ci de passer dans l’au-delà.
Les morts font toujours partie de la communauté des vivants. La période de deuil peut durer jusqu’à plusieurs mois. Chants, danses, sacrifices, offrandes peuvent faire partie de la tradition funéraire pour fêter la personne décédée. La communication tente d’être conservée à l’aide de rituels. Les croyances disent que les morts s’expriment aux travers des rêves des vivants.
C’est la religion islamiste qui régit les traditions funéraires en Afrique mulsulmane. Elles sont identiques à travers le monde. Funérailles plutôt simples, la famille organise une cérémonie avant que le corps soit inhumé. Des repas avec les proches permettent à chacun de se réunir pour évoquer les souvenirs.
Les pratiques peuvent varier selon les croyances. Religieuses ou laïques, les rites funéraires sont organisés par la famille du défunt.
Les croyances sur la résurrection sont fortes dans la religion chrétienne. Après une cérémonie religieuse orchestrée par un prêtre, le corps du défunt peut être exposé lors d’une veillée funéraire pour un dernier au-revoir. Le cercueil est ensuite inhumé. Durant l’enterrement, la famille peut être amenée à jeter une poignée de terre pour accompagner la personne disparue dans sa dernière demeure.
Les traditions peuvent varier d’une tribu amérindienne à une autre. Selon les coutumes, le corps est lavé, enveloppé d’un linceul puis placé dans un cercueil. Les funérailles se déroulent dans un endroit sacré et sont organisées avec les anciens. Chants, danses, prières et rituels sont pratiqués. Durant la période qui suit, la famille évite au maximum les intéractions sociales pour avancer dans le deuil.
Dans le cadre d’une pratique laïque, aucun rite religieux n’est à prendre en compte. Ainsi la famille du défunt est libre de pratiquer les traditions funéraires de son choix. Crémation ou inhumation sont possibles. Les cendres peuvent être conservées chez soi. Une réception peut être organisée pour réunir les proches et rendre hommage à la personne disparue.
Dans les pays d’Amérique du Sud, les traditions funéraires sont très respectées. Elles sont aussi différentes qu’il y a de régions. La mort est vue comme quelque chose de joyeux où les fleurs et la couleur sont de sortie.
Les funérailles comprennent une veillée funèbre pour un ultime adieu avec des chants et des prières ou bien dans un silence de recueillement. Suite à une messe catholique le cercueil est inhumé dans un cimetière. Croix, symboles, dessins ou photos du défunt peuvent orner la pierre tombale. La famille et les amis se réunissent ensuite pour rendre un hommage festif à la personne décédée.
Loin d’être considérée comme une fin, la mort fait ici pleinement partie de la continuité de la vie. Les défunts sont considérés comme des personnes à part entière et continuent d’être évoqués et priés. Les morts sont souvent enterrés en position foetale. Symbole de l’enfant qui retourne dans le ventre de sa mère, la personne disparue peut ainsi rejoindre sa nouvelle demeure dans la terre.
C’est souvent la religion chrétienne qui prime au sein de la communauté afro-américaine. Chants et prières sont dites lors de la cérémonie funéraire. Un repas permet ensuite de réunir la famille et les amis et de se remémorer les bons souvenirs. Le corps peut être exposé afin de lui rendre un dernier hommage. Une parade funéraire est souvent organisée pour accompagner le défunt jusque dans sa mise en terre.
En Océanie les traditions funéraires varient d’une communauté à une autre. Le décès est très important et plusieurs événements sont organisés les jours suivants pour rendre hommage à la personne disparue.
Après un décès dans la culture maorie, le corps est exposé durant plusieurs jours. Les proches se succèdent à son chevet pour honorer le défunt. Le noir est alors de rigueur pour indiquer que l’on porte le deuil. Lors de la tan gihanga, la cérémonie funéraire, les proches dansent et chantent. Le défunt est ensuite enterré dans un lieu appelé urupa.
Après une veillée de plusieurs jours durant laquelle le corps est exposé, il est ensuite enveloppé dans un linge. Il est inhumé dans un lieu spécifique ressemblant à un cimetière ou dans un lieu choisi dans la nature. Un jeûne est ensuite entrepris par la famille en guise de sacrifice pour accompagner la douleur du défunt.
En Polynésie, après un décès, la famille revêt des habits traditionnels. Après l’enterrement dans la nature, dans une tombe ou dans une grotte, des offrandes sont réalisées. Colliers de fleurs, coquillages, noix de coco, etc. elles peuvent revêtir plusieurs formes. Dans certaines cultures, il est tabou de parler de la personne décédée après l’enterrement. Dans d’autres il est au contraire conseillé de l’évoquer souvent.
Rares sont les personnes qui savent comment aider un ami ou la famille en deuil. Il s’agit d’une épreuve douloureuse qui exige de la compréhension,
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